PDF gratuit Le Sexe et l'Effroi, by Pascal Quignard

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Le Sexe et l'Effroi, by Pascal Quignard

Détails sur le produit

Poche: 355 pages

Editeur : Gallimard (14 mai 1996)

Collection : Folio

Langue : Anglais, Français

ISBN-10: 9782070400027

ISBN-13: 978-2070400027

ASIN: 2070400026

Dimensions du produit:

10,7 x 1,8 x 17,5 cm

Moyenne des commentaires client :

3.5 étoiles sur 5

10 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

63.620 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Tout ou presque, est dans le titre, l'art, reflet et parfois source des moeurs de nos sociétés et ses liens très étroits avec le sexe dont les pratiques deviennent effrayantes à partir de l'empire romain. Beaucoup trop de références au sexe qui prouvent certes une documentation riche et poussée mais qui deviennent lourdes et répétitives. Une espèce de livre érotico-pornographique pour intellectuels désireux de justifier un penchant certain pour la bagatelle ... En quelques mots : peu d'intérêt si l'on est pas érotomane

J'ai bien aimé la façon historique de narrer le sexe. la vision très differente et joyeuse dans l'ancienne grèce a étè le depart de ce merveilleux voyage, que j'ai bien apprecié surtout pour la precision historique et l'agréable style.

J'avais lu les critiques, mais je suis très déçue par ce livre. Certe sans doute très fouillé d'informations érudites, mais peu clair et fort décousu. Je ne suis pas tentée de lire un autre livre ce cet auteur...

Je voulais seulement, arrivée à la dernère page, que l'auteur nous en donne la suite, en approfondissant le problème du sexe dans l'ère chrétienne. Nul lecteur qui s'intéresse à l'évolution de l'humanité ne resterait indifférent à la thèse de Quignard.

J'ai bien reçue livre, il était neuf aucun impact sur la couverture, le temps de réception à été respecté.C'est un super livre que l'on m'a conseillé de lire dans la pratique d'un cours d'esthétique de l'art,bien écrit avec des références de toutes part ce chef d'oeuvre de Pascal Quignard en format de poche m'accompagne partout où je vais.

Je ne connaissais pas Quignard ! C'est un ami qui m'en a parlé. Depuis, je l'ai en permanence sur ma table et après l'avoir lu plusieurs fois, maintenant, je le lis par morceaux, je le déguste. Je suis fasciné (!) par les vues de l'auteur sur Rome, ma période de prédilection.

C'est la clef de notre univers contemporain. Difficile d'accès, l'aventure en demeure néanmoins salutaire. Ici, rien de vain. C'est un véritable pain de l'intelligence."Le sexe et l'effroi" est le contre-exemple parfait à offrir aux partisans de l'art inutile (Baudelaire, Wilde), aux philosophes décadents (Nietzsche) qui assimilent la psychologie avec la philosophie et qui, en général, rejettent avec hauteur toute métaphysique ou, bien pire, en font sans s'en rendre compte.Véritable plongée didactique dans le monde greco-romain, "Le sexe et l'effroi" retourne les lieux communs si bien entretenus par les jouisseurs et les éternels, naïfs, libertaires du style Onfray (ou Bataille) qui voient encore dans le monde antique une échappée salvatrice, colorée, moite et extatique, à notre monde soi-disant étouffant de puritanisme (qui existe, néanmoins).Quignard sublime cette contre-vérité grâce à un style exigeant et une richesse exemplaire. L'aventure est maîtrisée, le lecteur doit l'accepter ; sa passivité a un prix : l'apocalypse du désir. Quel est le secret de cette odyssée ?L'érotisme suprême réside dans la pudeur. L'effroi est dans l'exaltation du désir, sa mise en scène.Pour un Romain, le sentiment est une impudeur ; le puritanisme ne concerne jamais la sexualité mais la virilité.« Le désir et la peur proviennent d'une même souche. Il a peur. Il est rempli d'angoisse. Il se tient comme une statue. Il désire. Il est comme une statue. [...] Le désir est la peur. Pourquoi, durant des années, ai-je écrit ce livre ? Pour affronter ce mystère : c'est le plaisir qui est puritain. Le plaisir rend invisible ce qu'il veut voir. La jouissance arrache la vision de ce que le désir n'avait fait que commencer de dévoiler. »La haine du physique, de la matière, nous vient de l'orphisme puis du platonisme et du néoplatonisme (Plotin). Pour l'âme, un processus initiatique est nécessaire grâce à la gnose (c'est encore le principe de la franc-maçonnerie) en vue de se libérer de son corps, supposé aliénant. Nous sommes loin de la conception chrétienne du corps qui coexiste avec l'âme (voir La profondeur des sexes : Pour une mystique de la chair )Ce qui terrifie est de voir combien les Romains ont la hantise du sentiment, ce qui provoque chez eux des parades sexuelles absolument frénétiques, felliniennes, fascinantes, fascisantes.« Rares sont les peintures érotiques qui dévoilent la poitrine féminine. » fait observer l'écrivain qui n'oublie pas de rappeler l'extrême pudeur des Grecs pour nommer le phallos.« La sexualité romaine n'a pas été réprimée par la volonté d'un empereur ou par une religion ou par des lois. La sexualité romaine s'est auto-réprimée. La sentimentalité est cet étrange lien où c'est la victime elle-même qui tyrannise. »« Ni l'Ancien Testament, ni le Nouveau Testament n'avaient prêché un instant l'arrêt de la reproduction, ni le legs testamentaire des patrimoines fonciers, ni l'anachorèse anti-fiscale et anti-municipale, ni le taedium vitae. »Le taedium vitae, le dégoût de vivre, s'étendit au Ier siècle. L'acedia des chrétiens, « fascination du suicide », apparut au IIIe siècle (considérée comme un péché), reste de la mélancolie du XVe siècle ; puis, le spleen, les « blue devils » romantiques du XIX siècle ; pour arriver à la « dépression » nerveuse du Xxe siècle.La cyclothymie (thymos = vitalité, libido) est liée au désir, toujours. René Girard, dans La Violence et le sacré, le constatait déjà : « Derrière toute cyclothymie, il y a toujours le désir mimétique et la compulsion de rivalité. Elle n'est pas, comme l'affirme la psychiatrie moderne, un phénomène individuel. »(p.229)Quant aux fantasmes sur l'homosexualité soi-disant assumée du monde greco-romain, Quignard remet les choses dans leur contexte, sans polémique :« L'homosexualité, faute d'offre, puis faute de demande, devint peu à peu marginale comme tout ce qui avait cessé d'être statuaire. C'est ainsi qu'entre l'époque de Cicéron et le siècles des Antonins, les relations sexuelles et conjugales se sont métamorphosées indépendamment de toute influence chrétienne. Cette métamorphose était achevée depuis plus d'un siècle quand la religion nouvelle se répandit. Les chrétiens reprirent à leur compte la nouvelle morale obséquieuse qui avait pris essor lors de l'installation de l'Empire sous l'empereur Auguste et sous son gendre Tibère. »Le christianisme, aussi, était en mutation, en développement, intégrant, sans nécessairement le savoir, ce qui était proprement incompatible avec lui, comme le platonisme ; Nietzsche fera l'erreur de confondre le platonisme avec le christianisme, erreur que l'on fait encore aujourd'hui, même parmi les chrétiens.« Quand Saint Augustin décrit ses extases dans ses Confessions, ce sont encore des fresques romaines.» (Quignard)La haine du corps, ce n'est absolument pas chrétien. C'est de la gnose, de l'orphisme, du brahmanisme, mais c'est totalement contraire au judéo-christianisme pour qui toute création est bonne.Si le monde romain a pu ériger une sexualité mise en scène jusqu'au sarcasme, c'est parce qu'il en était terrifié.Que de malentendus sur le narcissisme, nous dit Quignard !« Le mythe est simple : Un chasseur est médusé par un regard, dont il ignore qu'il est le sien, qu'il perçoit à la surface d'un ruisseau dans la forêt. Il tombe dans ce reflet qui le fascine, tué par le regard frontal. »On est très, très loin du narcissisme de Freud qui pervertit le sens du premier mythe. L'augmentum est l'instant qui précède la mort. S'il se penche dès l'instant où son propre regard le fascine, il sera englouti. Ce n'est pas l'amour qu'il a de sa copie, qui le tue. C'est le regard de la fascinatio. Le regard qu'évite toutes les peintures romains, terrifiées par la mort.Fulgurant, "Le sexe et l'effroi" est le code pour comprendre toutes les névroses de notre époque et, pourquoi pas, en sortir. C'est un livre de médecin qui réconcilie enfin la littérature avec la science, sans jamais sombrer dans un esthétisme de décadent ; le livre est l'expression de cette humilité qui manque à l'actualité : préférer, une bonne fois pour toutes, la vérité à la mode.« L'idée de la mort exaspère la frénésie de vivre.Mais l'évocation de la jouissance ramène irrésistiblement l'esprit vers les énigmes de son origine et qui est finalement le dieu qui lui est plus inconnu que la mort. »

De Médée, pensive, s'apprêtant à massacrer ses enfants, à Pline l'Ancien étouffé par son propre embonpoint sous les cendres de Pompéi, Quignard déambule d'un récit à l'autre pour alimenter sa méditation sur la mentalité romaine, tant dans sa conception de la sexualité qu'à travers des thèmes aussi variés que le pouvoir, le regard, l'interdit, la mélancolie, etc.Cet essai d'une vertigineuse érudition évoque entre autres, au delà du 'fascinus' (nom latin du 'phallos' grec), la mort par dissolution de la nymphe Echo, la pensée d'Horace ("Nous sommes de sable et d'ombre..."), l'impatience tragique d'Orphée, la philosophie des jardins, le fond sadique de la tendresse, les rapports père-fils, l'invention de la pornographie par un peintre tortionnaire, les appétits révoltants de Tibère, l'étrange définition du but de l'art selon Lucrèce ("Donner pour un moment le repos du sage à ce qui est sans sagesse") et le dieu méconnu Mutunus Tutunus.Pour ma part, j'en ai trouvé la lecture infiniment stimulante, bien que par endroits un peu rude, et le recommande très vivement.

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